Saturne
Hey! Drapeau blanc sur Planète Rap
Dis-moi donc qui m’arrêtera l-O yeah
Cinq années de ma vie dans le doute
Pourtant je suis né sous la voûte
Céleste, le sang contient des midi-chlores
Chaque mort me rapproche de
La croûte terrestre n’écoute pas le monde
Puisqu’il te dira ‘’On s’en
Fout d’tes rêves‘’
J’ai dit à mon ex ‘’J’ai envie d’éclore‘’
Mes regrets renaissent quand je
Goûte ses lèvres (hein hein)
Je suis le maître de mon destin (wow)
Tue le fils du diable, il en reste un (wow)
J’ai dû confondre cordon
Ombilical et intestin
J’suis poursuivi par mon ombre lyricale
Seul dans la nuit les
Yeux rouges qui ricanent
J’rappe dans l’atmosphère infestée
Je trinquerais à l’aube pendant
Le dernier des festins
Cocktail Molotov donne vie aux jerricanes
Drapeau blanc sur Planète Rap
Dis-moi donc qui m’arrêtera
Drapeau blanc sur Planète Rap
Dis-moi donc qui m’arrêtera
Ça fait hey how hey j’ai
Fait mes débuts dans une cave
Aujourd’hui j’mange du caviar
Fais monter les octaves
Frappe de trompette comme Pavard
La plupart sont silencieux mais
L’argent les rend bavards
Mes neurones sont devenus polymériques
Laisse moi célébrer succès sur côte ibérique
J’réalise les rêves de grand-mère immigrée
Car je vais conquérir la folle Amérique
Garde une rigidité cadavérique
On n’a jamais ce qu’on est
On a que ce qu’on mérite
Un prêtre pédophile qu’est renié par l’Eglise
Pourra quand même se marier à la mairie
(merde) les vrai voyous portent
Des costumes trois-pièces (wow)
J’rappe sale
Il y a six mille personnes qui acquiescent
(wow)
Pardonne moi si j’manque de délicatesse
Encore deux ans et même aux Bahamas
Tu paieras le délit de fasciés