L’espérance en l’homme
[Couplet 1]
Au cours d’un vie qui fut mouvementée
Dans un siècle où l’horreur battit ses records
Parmi les êtres qu’on a pu rencontrer
Sur le seuil d’un grand rêve ou dans des corridors
Au cours d’une vie de vertes et de pas mûres
À se dire quelquefois que le monde est foutu
Que l’Homme est fou, qu’il va droit dans le mur
Il arrive que cette vie si cruelle et tordue
S’ouvre sur un jardin d’odeurs comme en avaient les fleurs
Que l’on avait cru disparues
[Refrain]
S’ouvre, mystère et boule de gomme, quand l’espérance en l’Homme
Chantait encore dans les chambres et les rues
[Couplet 2]
Au cours d’un vie qui fut mouvementée
Il arrive qu’un jardin ou qu’un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Au cours d’une vie qui fut mouvementée
Traversée de voyages au bout de la nuit
À se dire : suffit, mais tout de même hanté
Par la mort qui fait le mort et par le temps qui fuit
S’ouvre tout un jardin d’odeurs comme en avaient les fleurs
Que l’on avait cru disparues
[Refrain]
S’ouvre, mystère et boule de gomme, quand l’espérance en l’Homme
Chantait encore dans les chambres et les rues
[Couplet 3]
Au cours d’une vie qui fût mouvementée
Il suffit d’une voix, d’un certain regard pour qu’on voie
Un espoir toujours recommencé
Que l’on croie en l’amour, planté sans cesse et replanté
Dans le cours d’une vie mouvementée
Tout se pardonne, tout se gomme
Et l’on voit soudain reverdir, refleurir notre espérance en l’homme
Il arrive qu’un jardin ou qu’un simple visage humain
Une main ouvre un nouveau chemin
Tout se gomme, se pardonne
Et l’on voit soudain reverdir, refleurir
Notre espérance en l’homme