Monsieur
La petite mort, c’est la sentence
Pour le délit de chair et
Ceux qui l’ont commis
Condamnés comme je le suis
Sont très heureux de leur supplice
Délicieux sacrifice, oui
L’amour m’a puni, il prend ma vie
C’est honnête
Monsieur le bourreau
Des cœurs, procédez, je vous prie
Au châtiment mais la mort est trop douce
Monsieur le bourreau des cœurs, je vous prie
De prolonger longuement l’agonie
Je ne demande aucun pardon
Aucune remise de peine, non
Et que la torture
Sans pitié soit appliquée
Je veux qu’elle dure, je veux crier
Je veux sentir mes chaînes et
Puis dans un soupir
Supplier pour qu’on m’achève
Monsieur le bourreau
Des cœurs procédez, je vous prie
Au châtiment mais la mort est trop douce
Monsieur le bourreau des cœurs, je vous prie
De prolonger longuement l’agonie
Monsieur le bourreau des cœurs procédez
Au châtiment mais la mort est trop douce
Monsieur le bourreau des cœurs je vous prie
De prolonger longuement l’agonie
La-da-da-da, la-da-da, la-da-da
La, da-da-da, la-da-da, la-da-da
La-da-da-da, la-da-da, la-da-da
La, da-da-da, la-da-da, la-da-da
Monsieur le bourreau des cœurs, procédez
Au châtiment mais la mort est trop douce
Monsieur le bourreau des cœurs, je vous prie
De prolonger longuement l’agonie
La-da-da-da, la-da-da, la-da-da
La, da-da-da, la-da-da, la-da-da
La-da-da-da, la-da-da, la-da-da
La, da-da-da, la-da-da, la-da-da
La-da-da-da, la-da-da, la-da-da
La, da-da-da, la-da-da, la-da-da
Hmm-hmm
Hmm-hmm