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Beaucoup de bounia, barakat !
3.6.5 jours en survêt
Chichon planqué dans chaussette
Élucidé le passé m’entête
M’aimer je crois que c’est illégal
J’ai la rage d’un hooligan
Pas de pluriel dans Oligarque
Quand je perd dis moi qui gagne ?
Je sais que je passerai pas l’hiver, donc je savoure l’été indien,
Politesse à quoi ça sert quand on fond ça va pas bien,
La tête tourne dans le tourniquet, l’envie est de tout niquer
Il y a pas de blessure éphémère, j’ai du vider tout le Dakin
J’enchaîne les clopes et goût amer
Y’a plus R dans l’magasin
Dernier câlin à nouvelle keh
J’baisse le rideau tchao pantin
J’vie Comme dans un mauvais polar
la télé reste allumer
Je connais déjà la fin de l’histoire
La vida jouera en replay
Corazon bat plus la mesure
Le bonheur est inodore
Ya des taches sur la peinture
Les coups de shlass sont Indolores
L’ambitieux n’a pas d’allier
Je compte mon rhaliss dans le RS
Mauvais oeil est activé
Dans l’boomer je veux pas que le son cesse
Je baise cette tchoin d’un amour sincère
Quand j’tiens ses fesses siliconées
Sa pipe ne me fait plus d’effet
Comme un zdeh de C.B.D
Les yeux rivés sur le satelite, Astra pour me localiser
Bambin à froid même en Afrique, que la Kishta pour le réchauffer
Verre de Pétrus à la main
Poupées russes du soir au matin
Si j’ai perdu le sommeil
c’est que je ne rêve plus à rien
La nuit j’caillasse des soleils
Depuis mon métro aérien
Si je mets ma vie en bouteille peu être que mes larmes l’enmeneront au loin
Nous vécûmes mésaventures
Les basket à l’envers
Je vais crever en sale ordure
Je suivrai les pas de mon père
Je vais dans le mur à vive allure
J’reste sur l’manège malgré la gerbe
Les bosses sont grosses sa mère la pute
Enfant perdu j’en connais qu’un.
Enfant perdu j’en connais qu’un...