Ma Mort

Max' de phases, j'ai trié, contre mes aînés,j'ai nié l'existence d'un monde du bizdéguisé comme une taspéJ'en ai vu prier pour une once, sucer le monde,même tirer sur mes frères,il perd ses sens acquis,la tête du Pascal décale d'un cran.Du cran, il y en a depuis que les fauves se bataillent.Non plus d'embrouilles de tarbâ,maintenant t'es tass ou s'en ba-lance tous - lance-toi.Tu touches ma douce, mais un conseil, pas mes bourses.Depuis que j'ai frayé mon taf, j'étouffe sur le poids de tous cesmac.Aucune envie pour mes tass,jalouse mon art et rêve d'une plaque d'or,mon nom gravé estimé a moins d'un cents.Sur scène, je pèse lourd en balance, leur fais de la peine.{Refrain: x2}Assez qu'on agisse pour plaire,Laissez, j'attends le jour que l'on t'enterre.Phases enclenchées, dans les tranchées wake MC en papiermâché.J'en fâche plus d'un,ne serai que mon style a tellement de formeque plus d'un homme se taperait des queues.Tu crois quoi? ATKLIK, un site INTERNET, t'es pas net.Ici mon rap absorbe mieux qu'une NANA, ALWAYS, tampon NETT.Une pensée lâche qui laisse en bas les tâches.Ma diction peux les fâche.Sache jamais ne mâche mes motset sur ta face de uk, je crache.Le mieux serait que les tass prennent mon rap pour une bonnequeue.Quadrille la zone occupante, occupe en masse les innés.Mon style arôme praliné attire les tass,tous comme les mecs devant une meuf dénudée.J'aurai bon trier les bons,les mettre de côté droit et quoique tu saches sur oim,je crois que ce n'est pas la peine de me lire mes droits.{au Refrain}Intense, immense mon taf, quand je casse trop Comme FIDEL,Les pec-nos de la tech-no,Y'en a en masse comme CHANEL.Le TEST mec te le dira, que mon biz je le compte en DÎNAR.Depuis les têtes se troublent,certains vont jusqu'à jouer le canard.J'remplace DAFFY, certes, mais quand ils parlent, on diraitPORKI.Mais qu'est ce que tu veux?Du taf, j'en ai pour toi, un CACHEMIR à qui le veut.Ils misent à tous les coups et perdent la mise.Donbi ils sont. Ignore la crise, avanceront même quoiquel'on dise.Trop d'anxiété encrée dans leurs têtes,comme une barrette qu'ils ne cessent d'effriter.{au Refrain}Pour l'instant vivant bébé, je fais ce qu'il me plaît.